Boujdour est un village ou j’ai passé 1 nuit de transit 🌙

Au retour de Dakhla, mon choix a été de revenir à Marrakech par l’autocar : 27H de transports 🚌. J’avais le choix de louer un véhicule, ou bien de prendre l’avion.

Premièrement, lors de mon séjour dans le désert, j’ai eu la chance d’échanger avec Mouni. Naturellement, s’est installée entre nous une belle amitié. Elle s’est créée simplement et le sens de l’hospitalité naturelle du berbère m’a fait une proposition. Laquelle ? Celle de bénéficier de l’hospitalité de sa sœur Saïda, de Mustapha son beau-frère et de leurs 2 enfants 👨‍👩‍👧‍👦

Deuxièmement, un accueil chaleureux, exactement comme je m’y attendais, et j’ai même eu la chance de déguster le meilleur gâteau parfumé à la fleur d’oranger jamais mangé. Saïda est une excellente cuisinière et pâtissière 🍳🍰.

Le lendemain matin, je me suis rendue sur l’esplanade et là, quelle surprise ! Elle rendrait jalouse plus d’une grande ville : spacieuse, longue, avec suffisamment de bancs pour profiter de la vue sur la plage et la mer. Troisièmement, la chance de découvrir cette esplanade qui est vraiment magnifique ⛱.

Le départ était prévu en milieu d’après-midi, pour me rendre à Laâyoune, et continuer ainsi mon périple 😊.
Les au revoir sont parfois moins faciles que d’autres 💘. Là, ça a été le cas, les enfants ne comprenaient pas mon « obligation » de départ. En tout les cas, depuis cette rencontre, je suis toujours en contact avec la famille. Je pense que je vais être amenée à les revoir, et ceci avec grand plaisir. Heureusement, la technologie nous donne l’occasion de rester en lien malgré la distance.

Quand j’arrive dans des villages, j’attire les regards de curiosité. Normal, une femme et une étrangère en cette période de crise sanitaire ! Mais rapidement, sourire et générosité de ce peuple facilitent les contacts. Il est vrai qu’avec cette crise sanitaire peu d’étranger circulent 🙏.